Notre coquine Julie nous parle de sa première fois avec une fille. C’est vraiment bouillant et je la remercie de partager son expérience homosexuelle avec nous toutes et tous car c’est super intime! Ça vaut une tonne de commentaires et un tonnerre d’applaudissements!
Nous étions donc sur la terrasse du troquet du coin, en train de discuter, se regarder dans les yeux avec des regards parfois coquins et qui en disaient long, se rafraîchissant car il faisait chaud ce jour là. Malgré l’ombre du parasol, la chaleur de nos corps était encore plus chaude que celle de l’été. Mais il se faisait tard et mon amie devait rentrer et nous nous quittions en nous promettant de se voir dans la semaine. Sans aucun problème!
Dans la semaine qui suivi, ne pouvant plus attendre de ses nouvelles, je prenais contact avec elle pour voir si elle était disponible le mercredi après-midi suivant. La réponse donnée me convenait plus tout: un grand « OUI »! Nous nous donnions donc rendez-vous à mon domicile.
J’avais eu l’impression de brûler les étapes mais je voulais savoir et comprendre les désirs et les envies quelle éprouvait pour moi.
Je ne tenais plus mes pulsions de me retrouver dans ses bras, de faire l’amour avec elle, de passer des heures entières à la contempler, la regarder, l’admirer, m’enivrer de l’odeur de son corps et passer les moments les plus sexuels de ma vie et de ma sexualité. Oh oui! J’attendais cela comme la fée qui m’a fait connaître l’amour des femmes. Mmm, ce qui suit est un vrai condensé de ma première aventure homosexuelle et j’en suis aujourd’hui toute épanouie car elle m’a donné envie de franchir le cap de ma sexualité et connaître à ce jour la passion des femmes, de l’amour, de la sexualité, de la tendresse et bien plus encore. Pour les femmes qui aiment l’amour des femmes dans toutes leurs intimités profondes et leurs désirs d’être aimées comme des femmes qui s’aiment, ce texte leur est adressé!
VOUS LES HOMMES QUELS QU’ILS SOIENT, SOYEZ RESPECTUEUX ENVERS LES FEMMES, donnez leur de la tendresse, de l’amour profond, des caresses, de l’érotisme. Ne les voyez pas comme des objets du désir et respectez leurs envies avec douceur et volupté.
Non, je ne fais pas la morale aux hommes qui ne pensent qu’à eux mais les femmes ont besoin de beaucoup de tendresse. Avec l’amour des femmes, je trouve le désir.
APRÈS CE PETIT intermède, je reviens à nous où plutôt à ma sexualité…
Rendez-vous fixé et pris! Ce jour là, j’avais mis toutes les chances de mon côtés pour la recevoir dans les meilleures conditions. Le matin, après une nuit un peu agitée à l’idée de la recevoir, j’ai pris un bain profond et coquin. Mon désir et mon excitation étaient tels que j’avais trop chaud dans mon bain aux senteurs sauvages et la température de mon corps était aussi chaude que l’eau de mon bain. J’ai du me caresser plusieurs fois pour stopper mes envies de jouir et rester sereine et fraîche.
Mais le restant de la matinée, j’ai du rester nue chez moi, sans culotte, juste une grand robe transparente blanche laissant apparaître ma généreuse poitrine galbée et gonflée par le désir. Une matinée bizarre dans mon corps et dans ma tête mais je devais me retenir de me caresser pour être au meilleur de ma forme.
14 h elle sonna à ma porte, j’avais auparavant mis des habits plus adéquates pour la recevoir, un short moulant noir, un balconnet blanc bleuté en dentelles et un petit caraco à fines bretelles en satin blanc. Non je n’avais pas oublié de mettre une culotte fine moulant les lèvres de mon abricot humide, assortie à mon balconnet.
Je lui ouvrit la porte avec un grand sourire coquin. Elle était habillée classe mais sexy, un chemisier crème ouvert par sa poitrine généreuse laissant entrevoir un balconnet rose pâle, une jupe noire courte à la moitié des cuisses. Après ce sera la surprise!!!
Reçue dans mon salon, assise sur un de mes fauteuils aux larges accoudoirs en tissu, je lui offrais un thé avec des petites friandises et nous avons commencé à parler plus intimement. Sa beauté et ses seins généreux encore inconnus ne faisaient qu’accentuer mon désir et mon excitation. Je sentais mon petit abricot de plus en plus humide et je ne voulais pas brûler les étapes et pourtant mes envies de lui faire l’amour raisonnaient dans ma tête. Oh oui!!!
Trop belle, trop désirable, cette femme de 27 ans, des formes généreuses qui ne laissent pas sans voix, des jambes rasées de près, des belles cuisses cachées par sa jupe mais je devinais à ces jambes croisées que plus haut c’était certainement le paradis…
Je la regardais avec des yeux coquins, je la dévisageais du regard et portais mes yeux sur l’ouverture de son chemisier. Un joli plongeant, profond et je ne savais que faire et que dire et j’attendais tout en la contemplant du regard. Ma petite fente me faisait comprendre et je mouillais de plus en plus de désir et de volupté.
Puis, l’envie de voir un peu plus, d’approfondir la raison pour laquelle je l’avais invitée se déchaîna dans mes sens charnels. Aussi je passais lentement aux choses plus coquines et lui faisait comprendre que depuis le 1er jour de ma rencontre, je la désirais. Une caresse sur ses épaules et ses bras dénudés palpant ses mains en remontant doucement sur sa nuque en écartant ses jolis cheveux longs bruns puis un baiser furtif est venu se poser sur cette nuque. Alors que mes doigts effleuraient les cuisses dénudées de Valérie, un petit gémissement à peine audible sorti de sa bouche. Mes yeux fixèrent les siens et délicatement un premier baiser tendre est venu se poser sur nos bouches. Les saveurs de nos lèvres entraient en contact, d’autre baisers plus intenses, plus longs, plus passionnés se sont succédé rencontrant nos langues agiles. Elles s’initiaient sans rien de plus dans nos bouches, nos mains se déchainèrent sur nos corps malaxant, pelotant nos poitrines gonflées sur nos soutifs, caressant nos cuisses que nous écartions jusqu’à l’entrejambe de nos intimités, passant sans trop d’insistance sur nos fentes encore cachées par nos vêtements mais au contact de nos doigts agiles, nous devinions notre humidité évidente et rien ne pouvait plus nous arrêter. J’étais plus excitée qu’elle et elle l’avait compris au toucher de mon short moulant très humide. D’autres baisers plus généreux, plus experts ont suivis. On commençait à comprendre ce que nous attendions toutes les deux et sans précipiter les choses et les caresses, nous commencions à tomber les premiers vêtements, avec désir, passion, toujours dans la douceur et l’envie de se faire l’amour.
Nous nous sommes retrouvées assises sur le canapé, nos lourdes poitrines nues, nos tétons dressés et sensibles roses/bruns, des mamelons bien dessinés et larges. J’avais rêvé de sa poitrine mais la je suis restée sans voix au vu des ses magnifiques seins en forme de poires, tendus, pointés. Que du bonheur, mais encore et toujours de l’humidité dans ma fente moulée par mon short. Il était noir et fin, l’état de ma chatte et ma mouille abondante transperçait mes vêtements. Ma conquête avait remarqué cela et nous continuions à s’enlacer, s’embrasser, jouer avec nos langues dans nos bouches, agiter et malaxer nos seins, sucer nos tétons, les aspirant pour les rendre plus durs et pointés, oh OUIII!!! Ils étaient déjà gros et excités mais rien de tel pour continuer dans notre besogne tandis que nos doigts plus experts continuaient la descente vers nos intimités. Les caresses devenaient plus précises, appuyant un peu plus sur les zones humides de nos entrejambes. J’avais senti et deviné la texture de son sous-vêtement, il était très humide, un simple appui sur le côté de son string avec 2 doigts ont suffit pour trouver, oh surprise, des lèvres charnues et gonflées. Je continuais plus loin se laissant faire en écartant encore plus ses cuisses magnifiques, mes doigts jouaient avec ses lèvres baveuses sous son string mais quand j’atteignis le haut de son capuchon pour poser le bout de mon doigt sur cette perle encore cachée, elle soupira et me fit comprendre de descendre ma tête sur cette fleur qui était très arrosée et je ne me faisais pas prier, oh non !!! Quant à ma fleur, elle ne cessait de couler, de s’épanouir encore et encore. Du plaisir en attente pour mon amie…
Je lui ôtais donc sa jupe en dévoilant cette culotte échancrée, ses lèvres gonflées dépassaient, mais à ce stade de nos désirs, elle ressemblait plutôt à un chiffon imprégné de mouille odorante. A la vue de ce spectacle je compris vite pourquoi j’avais sentie les lèvres de sa chatte bien avant de la dévoiler. Collée à cette moule baveuse, je n’ai eu aucun mal à la descendre en bas des ses jambes et remonter jusqu’à la source moite de sa chatte ouverte et dégoulinante de jus. Après plusieurs coups de langues sur son bouton pour que celui se montre au grand jour, après l’avoir roulé et aspiré sous ma langue, après avoir fouillé cette grotte secrète, elle se tortilla de plaisir et pris un très long orgasme. Ma bouche et mes lèvres étaient luisantes de mouille mais je ne m’arrêtais pas là, je voulais encore jouer avec ce bouton débusqué, fouiller encore cette source de mouille, approfondir mes envies au fin fond de cette cavité. Elle ne se refusa pas, à peine remise de sa première jouissance et toute retournée, je reprenais les rênes alors que j’avais déjà glissé 2 doigts dans cette fente baveuse, des allers et venus profondes, parfois poussées à l’extrême, mais elle gémissait encore et toujours, m’invitant à aller plus loin. Elle s’adonnait à mes doigts fouilleurs pendant quelle agitait son bouton. Un 3eme doigt est venu s’introduire sans mal. Vue l’ouverture béante de sa chatte, je continuais à la baiser dans tous les sens pour l’amener loin dans son plaisir et elle me le réclamait, ses petits gémissements étaient plus saccadés et plus forts. Ma langue titillait son bouton, je l’aspirais et le mordillais, ses mains malaxaient ses seins et elle tirait sur ses tétons. 5 min plus tard un 2eme orgasme est venu humidifier mon visage, non pas fontaine, mais une très belle jouissance baveuse. Elle me pris la bouche et mes lèvres, fouillant ma gorge et jouant avec ma langue, récupérant le jus de sa chatte, mélange de salive et de jus vaginal, MMM!!! Un vrai délice…
Puis elle prit les devants avant que je recommence encore, mais là, c’était elle qui avait les rênes. Elle ôta mon short suintant de mon jus coulant, dévoila ma culotte complétement trempée et odorante. Je mouillais comme quand tombe un orage et mes lèvres étaient comme les siennes après deux orgasmes, dépassant des deux cotés de ma culotte et baveuses. Des 2 cotés de ma culotte, elle écarta ma vulve sur le coté des mes cuisses, déjà reluisante de mouille, plongea sa langue dans cette rivière onctueuse et béante, pinça le capuchon de mon clito et le fit remonter, dévoilant ainsi ma perle, toute gonflée. A peine elle avait commencé à me titiller le clito de sa pointe de langue, écarté mes lèvres pour boire mon jus que le 1er orgasme se fit entendre. Moins de 5 minutes pour un 1er orgasme, j’étais tellement liquéfiée et excitée qu’il ne se fit pas attendre. Elle était ravie mais elle continua sans repos à me fouiller aussi rapidement que moi et même plus loin, de grand doigts profonds me pénétrait le fond de ma chatte avec un rythme soutenu. Son pouce allait et venait sur mon clito déjà tout gonflé. Elle le pinçait, le triturait, le faisait sortir plus loin de sa tanière, l’aspirait sous sa langue, le tétait sans le lâcher, mmm!!! Je n’étais pas totalement consciente mais sous son emprise, elle me fit jouir encore plus fort, sans un repos pourtant mérité, elle recommença à me farcir avec ses doigts, 3 au fin fond de ma chatte. Je m’abandonnais à elle, je ne contrôlais plus rien sous l’emprise de ses caresses et ses va-et-viens profonds et experts me faisaient gémir, des cris quelle étouffait avec ses baisers et sa bouche. Elle était coquine et elle avait su me désirer. Mais il fallait marquer une pause même si elle n’avait jouit que 2 fois et moi 3, un temps d’arrêt fut le bienvenu.
Après un bon café, remise en forme, elle devait partir car elle avait de la route à faire mais ses yeux coquins, malicieux me disaient quelle me désirait encore. Oh oui !! Nous nous donnions donc rendez-vous le Samedi suivant, mais la c’était pour la nuit entière et je ne serais vous dire le nombre de jouissance que l’on a prise, toutes les deux, cela est bien loin. 10 ans après, il a fallu que je creuse ma mémoire pour me remémorer avec beaucoup de plaisir mes 1er aventures homosexuelles avec Valérie.
Depuis ce jour là et après de longues semaines, de longs mois passés à se voir et partager au quotidien nos ébats amoureux et sexe, nous nous sommes quittées sans un mot et sans explications, et oui l’amour peut parfois avoir des fins tragiques et pourtant…
J’adore les femmes et depuis ces ébats je partage ma vie avec une autre, sans être ensemble, car nous avons chacune notre vie, mais nous nous aimons vraiment.
Bises a toutes les femmes, si vous appréciez mes récits et mes 1er aventures homo, laissez-moi des commentaires, je me ferais un plaisir de répondre a vos attentes.